Se vendre au mieux lors d’un recrutement sans avoir le profil parfait
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Dans le monde professionnel, le rôle du manager est souvent considéré comme crucial pour le bon fonctionnement d’une entreprise. Mais qu’est-ce qui distingue un simple emploi de manager d’une véritable vocation ou même d’un sacerdoce ? Cette question soulève des débats passionnés parmi les experts en gestion. Dans cet article, nous allons explorer plus en profondeur les nuances entre vocation et sacerdoce, et leur application dans le contexte du management.
Tout d’abord, il est important de définir ces termes. La vocation peut être définie comme un appel ou une inclination profonde vers une certaine carrière ou activité, souvent motivée par des intérêts personnels, des valeurs ou des talents. En revanche, le sacerdoce va au-delà de la simple vocation. Il implique un engagement sacré envers une cause ou un service, souvent associé à des valeurs morales ou religieuses. Ainsi, tandis que la vocation peut être une inclination naturelle, le sacerdoce est une réponse à un appel plus profond, souvent perçu comme un devoir ou une mission.
Dans le contexte du management, certains soutiennent que le management peut être perçu comme une vocation. Pour eux, être manager va au-delà d’un simple emploi ; c’est une passion, une inclination naturelle à guider, inspirer et diriger les autres. Les managers qui considèrent leur rôle comme une vocation sont souvent animés par un fort désir d’impact positif sur leurs équipes, de contribuer au succès de l’entreprise et de créer un environnement de travail enrichissant pour tous.
D’autre part, le sacerdoce dans le management implique un engagement encore plus profond envers les autres. Les managers qui voient leur rôle comme un sacerdoce considèrent leur travail comme un service désintéressé envers ceux qu’ils dirigent. Ils sont prêts à sacrifier leurs propres intérêts pour le bien-être de leur équipe et de l’organisation dans son ensemble. Pour eux, le management est plus qu’une carrière, c’est une mission sacrée qui demande un dévouement total envers les autres.
Cependant, il est important de reconnaître que tous les managers ne voient pas leur rôle de la même manière. Certains peuvent le considérer comme un simple emploi, tandis que d’autres y voient une vocation ou même un sacerdoce. Ce qui importe vraiment, c’est l’impact que le manager a sur son équipe et sur l’organisation dans son ensemble. Un bon manager est celui qui exerce son rôle avec intégrité, compassion et dévouement envers ceux qu’il dirige, qu’il le considère comme une vocation, un sacerdoce ou simplement comme un travail.
En fin de compte, c’est cet engagement envers les autres qui définit vraiment la nature du management.
Et vous ? comment voyez-vous cela ?
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Dans nos sociétés de plus en plus connectées et mondialisées, il est facile de se sentir éloigné de notre communauté locale, surtout dans les zones rurales. Pourtant, s’investir activement dans la vie de sa commune peut apporter des bénéfices considérables, à la fois pour les individus et pour la collectivité dans son ensemble.
Tout d’abord, s’impliquer localement renforce le tissu social. Dans les petites communautés rurales, les liens entre les habitants sont souvent plus forts, mais ils nécessitent un entretien régulier. En participant à des événements communautaires, en rejoignant des associations locales ou en aidant à des projets de quartier, chacun contribue à renforcer ces liens précieux qui font le cœur de la vie rurale.
De plus, s’investir dans sa commune permet de soutenir l’économie locale. En fréquentant les commerces de proximité, en achetant des produits locaux et en soutenant les initiatives entrepreneuriales locales, nous contribuons à maintenir la vitalité économique de notre région. Cela crée des emplois, favorise le dynamisme économique et permet de préserver l’identité unique de notre communauté.
Par ailleurs, s’engager localement offre une occasion de participer activement à la prise de décision dans sa communauté. En rejoignant des conseils municipaux, des comités de quartier ou des groupes de travail, les citoyens peuvent avoir leur mot à dire sur les enjeux qui les concernent directement, qu’il s’agisse de l’aménagement urbain, de l’environnement, de la culture ou de l’éducation. Cela permet de faire entendre sa voix et de contribuer à façonner l’avenir de sa commune. Sans oublier que cela renforce le contrôle des politiciens et de leurs décisions.
Enfin, s’investir dans la vie locale apporte une satisfaction personnelle incomparable. Contribuer de manière tangible à l’amélioration de son environnement immédiat, voir les fruits de ses efforts se concrétiser et sentir l’impact positif de ses actions sur la vie des autres sont des sources de fierté et de bonheur profond. Cela renforce le sentiment d’appartenance à sa communauté et nourrit un sentiment de gratification personnelle qui va au-delà des frontières individuelles.
En somme, s’impliquer dans la vie de sa commune rurale est bien plus qu’un simple devoir civique ; c’est un investissement dans le bien-être collectif et individuel. En renforçant les liens sociaux, en soutenant l’économie locale, en participant à la prise de décision et en trouvant une satisfaction personnelle, chacun peut contribuer à faire de sa commune un endroit où il fait bon vivre et où l’avenir est prometteur.
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En 2021, j’ai choisi de m’installer à Felenne, petit village de la verte commune de Beauraing.
Ceux qui me connaissent le savent, je suis un passionné qui aime s’investir dans des projets constructifs, sociaux et humains. Scout, bénévole Croix-Rouge, administrateur de maison de jeunes, association RH et politique… Avancer, progresser, améliorer, inclure et permettre à chacun de réaliser au mieux sa vie, c’est tout cela qui me motive.
La suite est évidente, je m’inscris dans ma commune et la vie villageoise, je participe aux élections communales pour débloquer des dossiers, favoriser une vie sereine, aider au bonheur de chacun, développer l’économie locale… Ce sont des idéaux mais je les conçois comme des guides, comme une boussole m’aidant à piloter mes actions et mes décisions.
Je suis réaliste, les pieds sur terre, j’ai besoin de concret mais je suis convaincu qu’on avance mieux quand on sait dans quelle direction on veut aller.
En quelques mots, voilà pourquoi j’ai pensé rejoindre la liste du bourgmestre, Energies beaurinoises pour les élections communales de 2024 mais, après de multiples rencontres, la politique locale, et surtout les politiciens-clés, ne sont pas en accord avec mes valeurs d’honnêteté, de transparence, d’humanité, de respect, de garantir la neutralité de l’état, de défendre la diversité et protéger & inclure les minorités.
Aussi mon engagement social et humain va se concrétiser sous d’autres formes.
Ensemble, faisons mieux.
Eric Lorio
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Avant de se lancer tête baissée dans la création d’une boutique en ligne, il est primordial de préparer le terrain, de cibler ses besoins, sa clientèle, son marché, la concurrence… et toutes les spécificités du commerce en ligne.
Si les aspects techniques se sont fortement simplifiés ces dernières années, il faut en effet évier les pièges, le travail inutile ou vain, les investissements à perte et trouver sa place sur un marché hyperconcurrentiel. Car une boutique en ligne est en concurrence avec le monde entier et pas seulement dans son quartier comme un magasin physique.
Devenir premier dans les recherches Google, c’est nettement plus compliqués et par forcément moins cher (à vérifier) que d’installer sa boutique sur les Champs-Elysées.
Lancer sa boutique en ligne et la voir détruite dans un incendie de serveur comme cela est arrivé à de nombreux clients OVH en mars 2021 parce qu’ils n’avaient pas investi dans un back-up de qualité. C’est mortel.
Eric Lorio, entrepreneur et e-commerçant depuis 2013 vous aide et vous conseille. Ma mission : vous coacher pour réussir votre projet de commerce en ligne.
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Une étude réalisée par les professeures Jennifer Aaker et Naomi Bagdonas de l’université de Stanford (Californie) met en évidence une perte généralisée de l’humour à l’entrée dans le monde professionnel.
L’enquête menée auprès de 1,4 million de personnes de 166 pays révèle que la fréquence des rires et sourires baisse à partir de 23 ans. Pourtant, l’humour a beaucoup de valeur sur le marché du travail, constate The Times.
A 4 ans, on rit en moyenne 300 fois par jour. A 40 ans, il faut 10 semaines pour rire autant !
La fréquence des rires baisse fortement à partir de 23 ans, au début de la vie professionnelle. Et cette courbe remonte à l’entrée en retraite, à la fin de la vie professionnelle.
Le poids des responsabilités, des tâches à réaliser, la conscience des problèmes, la nécessité de trouver de l’argent… Tout cela ne fait plus rire quand on découvre leur réalité.
Et pourtant le rire et le sens de l’humour sont essentiels à une vie épanouie, en réduisant notamment le stress dans le cerveau. L’étude montre encore que les responsables du recrutement apprécient particulièrement le caractère joyeux des candidats à l’embauche. Pas besoin d’être un humoriste ou un boute-en-train, être juste joyeux augmente fortement la probabilité d’être engagé.
Associée au bonheur, la joie est donc également essentielle à la vie professionnelle. La question est comment la conserver à l’âge adulte, comment la préserver et la soutenir.
Source: Courrier international & The Times.
Illustration: S. Mesones, Freeimages.
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Costa Rica. Alejandro Zúñiga est un père en bonne santé, d’âge moyen, qui socialise au moins six heures par jour et qui a quelques bons amis sur lesquels il peut compter. Il dort au moins sept heures par nuit et mange quotidiennement six portions de fruits et de légumes. Il ne travaille pas plus de 40 heures par semaine et il aime son travail et ses collègues. Quelques heures par semaine il fait du bénévolat; le week-end, il croit en Dieu et est passionné le footbal. Pour faire court, il fait des choix quotidiens qui favorisent le bonheur. Des choix facilités parce qu’il vit parmi les gens partageant les mêmes idées dans la verdoyante et tempérée vallée centrale du Costa Rica.
Danemark. Sidse Clemmensen vit avec un partenaire aimant et ils ont trois jeunes enfants. Ils vivent dans une communauté de cohabitation avec d’autres familles qui partagent les corvées, les garderies et les repas dans une cuisine commune. Elle est sociologue et adore son boulot. Elle se déplace en vélo ce qui les aide à rester en forme. Elle paie de lourds impôts sur son modeste salaire, mais les soins de santé, les frais de scolarité sont gratuits et sa retraite est garantie. Où elle vit dans une petite ville danoise, tous les gens sont convaincus que le gouvernement veillera à ce que rien de grave ne leur arrive.
Singapour. Douglas Foo est un entrepreneur prospère. Il a une grosse BMW et une maison de 10 millions de dollars. Il est marié, a quatre enfants en bonne santé. Il a créé son entreprise alors qu’il était encore à l’école. Il travaille environ 60 heures par semaine. Il a gagné le respect de ses employés, de ses pairs et de la communauté en général. Il a travaillé dur pour atteindre son succès mais il est convaincu qu’il n’aurait pas pu avoir cette vie ailleurs.
Tous 3 illustrent trois différentes visions du bonheur mais aussi 3 aspects du bonheur qui se complètent pour créer un bonheur durable : le plaisir, le sens de la vie et la fierté. Tous 3 vivent également dans des pays qui encouragent ces dimensions.
Regardez Zúñiga qui, comme beaucoup de costariciens, apprécie le plaisir de vivre au maximum la vie quotidienne sans stress et dans la joie et le rire. Les scientifiques appellent ce type de bonheur le bonheur expérimenté. Son pays n’est pas seulement le plus heureux d’Amérique latine, c’est aussi là que les gens déclarent ressentir le plus d’émotions positives quotidiennement que n’importe quel autre endroit dans le monde.
Clemmensen vit une forme de bonheur typique des Danois. Comme toutes les formes de bonheur, elle suppose que les besoins de base soient assurés pour que les gens puissent poursuivre leurs passions au travail et dans leurs loisirs. Les universitaires nomment ce bonheur eudémonique, un concept rendu populaire par Aristote qui pensait que le bonheur est la finalité naturelle de la vie. Au Danemark, pays qui a le plus régulièrement dominé le classement de bonheur dans le monde ces 40 dernières années, la société toute entière a évolué pour faciliter la vie de tous.
Et fidèle à la réputation de Singapour de rechercher quasi fanatiquement le succès, Foo – avec toutes ses ambitions et ses réalisations – représente la forme de bonheur appelée « satisfaction de la vie ». Les chercheurs en sciences sociales mesurent souvent ce type de bonheur en demandant aux. Les experts appellent aussi ce bonheur évaluatif. À l’échelle internationale, il est considéré comme la référence du bien-être. Singapour est le pays d’Asie qui a obtenu la satisfaction la plus élevée à la question d’évaluer leur vie sur une échelle de zéro à 10.
Selon les chercheurs qui publient le rapport annuel sur le bonheur, environ les trois quarts du bonheur humain sont attribuables à six facteurs :
Ces facteurs n’apparaissent par hasard, ils sont intimement liés au gouvernement d’un pays, aux choix des priorités et aux valeurs culturelles. En d’autres termes, les endroits les plus heureux souhaitent le bonheur de leur peuple.
Nos 3 heureux, Zúñiga, Clemmensen et Foo, poursuivent intensément leurs propres objectifs, mais jamais au détriment de la joie et du rire, et ils sont fiers de ce qu’ils font et de ce qu’ils ont déjà accompli. Ils sont capables de le faire car les endroits où ils vivent, les poussant constamment vers des comportements qui favorisent le bien-être à long terme.
Le Costa Rica met en avant un fort sens communautaire et des relations sociales, une bonne santé et veille au sens de la vie, aux objectifs de vie.
Au Danemark, les facteurs du bonheur sont avant tout la sécurité économique, l’engagement social et on fait attention à ses objectifs et à ses activités quotidiennes.
À Singapour, la stabilité économique contribue au bien-être économique, au risque de moins investir dans les autres ingrédients du bonheur.
Si le bonheur général dépend fortement de l’endroit où l’on vit, son bonheur personnel est avant tout le sien. À chacun, à son niveau, de veiller à agir et à renforcer les 6 ingrédients du bonheur.
Source: National Geographic
Photo: Cory Richards
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Des personnes souffrant de phobies participent à un groupe de parole pour personnes phobiques. C’est une belle idée de partager non seulement la difficulté mais également les aides et conseils. Même si, parfois, cela peut paraître bizarre, voire étrange.
PS: J’espère que vous ne souffrez pas de phobie de l’humour.
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Depuis plus de trente ans, Jean-Paul Mari couvre les guerres pour les journaux et magazines français. Du Ruanda à la guerre du Golfe, en passant par la Bosnie ou Somalie, il a tout vu. Les horreurs, les massacres, les peurs mais aussi les courages et les souffrances. Lui-même est un survivant.
Témoin de ce siècle, il a rencontré les victimes et les bourreaux, les blessés et les assassins. Face à cette folie, il a pris sa plume. Il a plongé dans ses propres traumatismes pour rencontrer les combattants et les psychiatres pour enquêter sur la névrose traumatique, connue sous son acronyme anglais, le PTSD.
Il en est sorti une enquête, un livre et un documentaire indispensable. La confrontation à la mort et à l’horreur provoquent des blessures physiques mais aussi psychologiques qui ne se voient pas et qui se cicatrisent si difficilement.
Pas plus que le soleil, la mort ne peut se regarder en face… disaient les anciens.
Un livre splendide, passionnant, difficile, intéressant que je recommande. Jean-Paul Mari a affronté l’épouvante pour en témoigner. Partant de ses expériences, il mène une enquête admirable pour nous aider à en sortir et à penser à nouveau que la vie peut être plus forte que la mort.
Voir le site du livre et du documentaire.
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